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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 10:32
juin 2014...

juin 2014...

- ce n’est pas qu’une rumeur ! bien sûr, des histoires, on en raconte et notamment sur l’histoire locale… Mais c’est officiel… l’ultimatum est tombé… la cabine VIC ne répond pas aux attentes du maire… la fameuse élégance ! sa disparition n’est malheureusement plus qu’une affaire de jours !

- une cabine aussi célèbre, il suffit de voir les nombreuses cartes postales la mettant en valeur et les photos d’artistes, est un élément essentiel à l’attrait de la plage… c’est vrai, le temps passe… l’heure est venue de raviver les couleurs ! et comme le maire annonce le renouveau de Paris-Plage, un coup d’éclat s’impose…

- le décor a une importance majeure pour l’attrait de la station balnéaire ! la plage étant un endroit fréquentée, des travaux deviennent indispensables ! on dit que ce n’est pas une bicoque certes, mais cette cabine a fait son temps et comme le maire est un adepte de la table rase…

- la cabine appartient à l’histoire de Paris-Plage… tout comme le plongeoir de la défunte piscine et la banane ! une soixantaine d’année déjà que ces monuments dessinent le bord de la mer… ce n’est pas un iconoclaste tenant la mairie qui va…

- lorsque le couperet tombe, des conséquences parfois désastreuses sont à craindre… on raconte du belvédère de la corniche qu’il ne convenait pas à la vision du maire… la démolition de la cabine est alors probable si rien n’est fait ! on entend dire qu’une pétition…

- « VIC », la première cabine date de 1928, aura un jour cent ans ! un coup de peinture, une planche ou deux et une nouvelle jeunesse est donnée à cet édifice… les bonnes volontés et les généreux donateurs ne manquent pas à Paris-Plage… et pour sa couleur ? elle sera bleue blanche et rouge ou jaune et verte, et même multicolore avec des oyats bleues s’il le faut, mais la cabine restera une image inaltérable de l’histoire locale !

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 17:25

LA CHARTE DE PARIS-PLAGE

Dans l’histoire récente de Paris-Plage, le développement a été stoppé un temps du fait de la seconde guerre mondiale. Heureusement, le labeur des Paris-Plageois lors du déminage et de la reconstruction a contribué à replacer rapidement la station balnéaire en haut de l’affiche. L’économie touristique a alors profité de l’époque glorieuse pour satisfaire au mieux les attentes des uns et des autres et sa croissance a certainement battu tous les records. Durant plusieurs décennies, des attentes bien légitimes ont été satisfaites, mais ce développement, qui se poursuit encore projette l'ombre d’un nouveau malheur.

L’économique est comme une grosse machine… celle-ci propose des services que les Paris-Plageois et les touristes consomment et attendent toujours plus de logements, d'activités culturelles récréatives et sportives, etc. Les services rendus répondent alors à de multiples demandes de plus en plus diversifiées et ils participent à l’écriture de nouvelles pages de l’histoire locale. Mais le développement de ces biens et services redessine les traits de la station balnéaire et la jeunesse de la station, elle est née au XIXème siècle, semble parfois appartenir à une époque lointaine. Le cadre de vie de celles et ceux qui vivent quotidiennement à Paris-Plage ne ressemble déjà plus à ce qu'il était autrefois.

Le développement de la station balnéaire engendre des conséquences sur le quotidien des Paris-Plageois que même nos touristes les qualifient de malheureuses… Les exemples sont légion pour illustrer certaines limites franchies allégrement par le changement, ici et là. Sans vergogne, l'évolution décrétée dénature trop souvent un cadre de vie si envié de nos visiteurs alors que l’attrait de la station balnéaire est l'essence même de sa notoriété. Sans parti pris, une croissance qui altère encore le charme de Paris-Plage n’apparaît plus supportable sauf à vivre le regard braqué sur un passé glorieux.

Personne ne sait vraiment ce que le développement de Paris-Plage nous réserve, et pour préserver l'intérêt collectif, nous devons faire en sorte de suivre une règle de conduite favorable à l’intérêt de tous les Paris-Plageois d'aujourd'hui et de demain. Celle-ci consiste à proscrire, à interdire donc… Bien qu’une telle règle encadrant le développement puisse surprendre dans un monde où la liberté individuelle est sacrée, elle acquiert aujourd’hui ses lettres de noblesse. Elle fixe des limites au développement de la station balnéaire et cela en imaginant le pire, c'est-à-dire les événements qui figent pour toujours l’histoire locale.

Une telle intention, ne pas vivre de catastrophes, peut faire l’unanimité au sein des Paris-Plageois. Et pour façonner une prophétie de malheur, nous avons en commun notre histoire bien sûr, mais aussi notre imagination et nos sens… Par la vue l’ouïe le goût l’odorat et le toucher, chacun perçoit ce qui l’entoure et peut parler de ce qu’il ne veut pas endurer ou encore l’écrire, le chanter, le peindre… Chacun sait que l’intérêt collectif se reflète dans les sensations que nous vivons chaque jour. Par les sens, les Paris-Plageois de toutes les générations s’unissent pour le bien commun, un cadre de vie unique qui fait le charme de notre ville.

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24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 16:11

 letriangledor.jpg

   

- c'est dans l'intérêt de tous que cette maison disparaisse du paysage de Paris-Plage ! c'est ainsi que les élus préservent les perspectives qui font notamment le charme de la station balnéaire... mais pour combien de temps encore ?

 

- cette décision est pleine de bon sens ! l'avenir nous le montrera certainement...

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 12:44

 

- et oui ! depuis le temps qu'on entend dire que les trottoirs sont en mauvais état... et bien à la ville du Touquet on ne chôme pas... quoiqu'on dise au comptoir ou dans la rue !

trottoirmediatheque.jpg

  - ils commencent d'abord par faire des études... ça évite de faire tout et n'importe quoi... ils testent la résistance du trottoir ... notamment devant l'entrée de la bibliothèque... avec les voitures des services techniques... et ils le font aussi, mais alors avec des camionnettes, sur des trottoirs qui viennent d'être refaits ! d'aucuns appellent cela de la conscience professionnelle...

 

- bon... si on comprend bien, si le trottoir ne supporte pas le poids de la voiture ou du camion on évite le pire...

 

- ils rigolent pas à la ville... ils savent très bien qu'une foule comptacte massée aux abords de la médiathèque ou ailleurs peut entraîner une catastrophe ! plusieurs dizaines de personnes blessées après l'effondrement d'un trottoir, à Paris-Plage... non, ils n'imaginent pas ce genre d'actualité.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 11:02

 

   - lorsque c'est le week-end du patrimoine, à Paris-Plage on sort les cartes postales ! et elle ne sont pas si vieilles que cela...

belvedere.jpg 

- c'est une nécessité ! depuis des lustres la belle station se meurt... c'est l'amour de l'argent qui favorise le changement... peut-être qu'un jour, ils vont penser que le cadre de vie ne se résume pas à regarder un portefeuille...

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 08:07

 

- le développement de la station balnéaire est une chose ! Ainsi, quand le bâtiment va... et cela fait déjà quelques années que ça dure... et puis, vous savez la demande de logements... et même de bureaux !

avenueGodin.jpg

   

- Sur cette avenue, qui relie la station balnéaire à Cucq, la municipalité rend un glorieux hommage à François Godin, un des libérateurs du Touquet.  Heureusement, encore caché derrière les arbres pour un temps, l'édifice fête le centenaire de l'indépendance politique de Paris-Plage d'une manière très... élégante !

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 10:50

Depuis la première réunion publique, où trois scénarios ont été présentés,un quatrième est apparu puis un cinquième... Selon diverses versions envisageables, la promesse de rendre toujours plus de services est faite ; des logements, des commerces, de la verdure et peut-être un cinéma… En concertation avec la population, la municipalité souhaite donner une autre allure à la place Quentovic et ses alentours. Le premier débat a ainsi permis de révéler des préférences pour un des trois projets présentés ou une quelconque combinaison. Une fois aménagé, cet endroit illustrerait à nouveau l’Elégance, une politique visant notamment à « améliorer le cadre de vie des Touquettois ». Les regards sont maintenant tournés vers ces possibles aménagements du quartier. C'est ainsi qu'une telle ambition nécessite de s'intéresser aux critères permettant de départager les projets en compétition.

 

Après un bref exposé sur les projets , le premier magistrat de Paris-Plage a recueilli les avis dans l’assemblée. Ainsi, monsieur préfère tel scénario alors que madame espère plutôt une autre réalisation… D'autres personnes ont également fait part de leurs idées sur le devenir de la station et notamment sur les services à rendre. Mais comme les avantages et les inconvénients des aménagements projetés diffèrent souvent pour les uns et les autres, monsieur le maire a voulu alors éclairer l'assemblée de son expertise… L’étude d’impact qu'il dévoile est cependant muette sur le point essentiel de sa politique, qui est l’amélioration du cadre de vie des habitants. Si les préférences de quelques personnes sont légitimes, la défense de l’intérêt collectif  prime et l'impact de chaque projet sur l'environnement des Touquettois est à connaître.

  

Le choix d'un aménagement sans prendre aucune précaution risque certainement d'engendrer le pire. Un projet est pourtant réalisable à la condition qu'un malheur ne s'abatte pas sur Paris-Plage. En fixant du regard un horizon catastophique, la municipalité a ainsi  le pouvoir de rejeter tout aménagement qui ferait regretter à la population une époque du développement de la ville. Certains projets récents montrent en effet la fragilité de l’identité de la station balnéaire. Depuis la digue, dans l’axe de l’avenue Joseph Duboc, la rue des pompiers, en regardant vers la ville, l’édification d’immeubles de logements, « les pyramides du phare », a fait disparaître du paysage du Touquet, "le jardin de la Manche", les arbres et le ciel... Dans le quartier Quentovic, la construction d’une résidence transforme radicalement le coin ; la vue vers la Canche ne sera plus jamais la même pour les riverains. Et voir n’est qu’un des cinq sens malheureusement encore malmenés en 2012.

 

Pour protéger de nouvelles mésaventures le bien commun de toutes les générations de Touquettois, qui est bien sûr leur cadre de vie, tout projet peut offrir des services les plus divers, mais jusqu'à un certain point. Et cette limite est la catastrophe imaginée en concertation avec la population... La municipalité dispose ainsi des conditions qui encadrent l'imagination de celles et ceux qui dessinent la nouvelle allure du quartier ; les projets proposés ont une obligation, qui est de ne pas engendrer un désastre. En déterminant des seuils à ne pas atteindre pour la vue, l’odorat, le toucher, l’audition et même le goût, la démocratie locale définit le garde-fou veillant sur les intérêts de la collectivité. Ainsi, lorsque l'aménagement choisi transformera pour longtemps le coin, le catastrophisme préalablement décrété aura évité que les Touquettois de toutes les générations évoquent avec nostalgie le "petit stade" et la place Quentovic.

 

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 11:04

 banane

             la "banane", sur le front de mer, un symbole depuis la destruction de la piscine

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 11:43

 laMarche

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 11:18

 derrièreLinterdit

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